Présentation test - à compléter

Prénom : Lysandre
Nom : ?
Âge apparent : La vingtaine et des petites années invisibles, il aurait fallut que ce soit 24 mais il en est 18.
Âge vampirique : Une semaine, d'après ce qui se dit.
Attitude : Cette dernière semaine, je dirais hystérique. Mais crier fait mal à la gorge et j'ai faim. J'aimerai boire ma soupe sans brûlures, donc je vais me calmer. Bien que tout de même, il y ait encore raison de taper du poing sur ce mur. Vous ne savez pas s'il ne m'a rien fait, nous étions en tête à face ou pile ces derniers jours.
Clan : Malkavien
Allégeance : La Camarilla semble être le choix le plus sûr.
Refuge :

Naissance dans la non-vie :  Un malkavien obsessionnel étudiait la manifestation de la folie chez ceux qui dans leur vie humaine étaient déjà considérés comme atypiques. Son statut de surveillant de nuit en hôpital psychiatrique lui a montré de nombreux spécimens intéressants sur lesquels il se languissait de tester l'étreinte.

Et moi, dans ce joyeux décor, j'étais autiste verbale, "léger" comme les médecins disent sans rien comprendre de l'intensité physique et émotionnelle d'une telle condition. Mon sire eut attendu que mes nerfs soient trop stimulés et mon moral au plus bas pour m'offrir une "délivrance" empoisonnée.

Enfermé en hôpital, tu ne peux rien refuser sans finir sous sédatif. J'acceptais donc, contre mon gré et sans facilité. On aurait même pu croire que je refusais vraiment, mais ce devait être dans ma tête. Les médecins savent toujours mieux que nous ce que nous souhaitons, paraît-il. Dès que tu entres dans ce genre de lieux, tu es considéré comme dangereux, pour toi comme pour les autres. Et je dois bien avouer que le personnel est dangereux de nos jours, on aurait pas dû le laisser entrer, ça non.

La morsure déclencha mon hystérie. J'étais au bout du rouleau, celui d'essuie-toutes-les-déconvenues. Je devins incontrôlable, mais seulement dans ma tête au départ. Tout bouillonnait et des informations affluaient de partout, comme d'habitude mais en pire, si bien que j'en retins que la poule se tenait sur la balustrade et que la flûte à bec avait oublié ses Mi à cause de la biscotte trop cuite de ce matin.

Quand les chaînes du sédatif me libérèrent, je me tenais dans une pièce exiguë et silencieuse. Je passais la semaine à hurler et cogner de toutes mes forces pour évacuer le trop plein, sans que personne ne s'en inquiéta et jusqu'à ce que je me fût calmée. J'avais dégringolé du plongeoir à reculons pour me noyer dans la non-vie. Pour le moment, rien n'était vraiment différent, à ceci près qu'on avait oublié de me servir à manger et je jurerais avoir très faim.

Démence(s) :
Atout(s) :
Handicaps : 1/ Référencée dans les dossiers de la branche psychiatrique du grand complexe hospitalier de Selm. Risques pour son identité et celle de son refuge.
2/ Sur-stimulée par les perceptions environnantes, peut avoir des difficultés de concentration si trop sollicitée.
Pouvoir(s) :